“La Gastronomie est l’art d’utiliser la nourriture pour créer le bonheur.” a dit Théodore ZELDIN, historien, sociologue et philosophe britannique.
La pluralité des événements.
1. Le 22 Avril - Une pièce de théâtre : “La fenêtre aux oiseaux”.
D’après un ouvrage de Laure BEX: “Souvenirs et cuisine de Mamie de PY” Adaptation d' Enrico CLARELLI et de Martine COSTES-SOURYS avec la complicité de Émilie CADIOU et son accordéon - La Cie du théâtre de l’Échapée Belle
Les mots de l’auteure : Laure BEX.
«Py, c’est le royaume de Mamie. Elle y est née et y a vécu plus de 80 ans dans ce petit hameau de LOUBRESSAC (LOT). Un jour, elle s’est plaint qu’il ne resterait rien d’elle après sa mort. Nous avons donc décidé d’écrire un petit livre pour la famille qui résumerait ses recettes les plus appréciées et populaires. Mais ses plats ne venaient pas de nulle part. Il fallait pour certains les remettre dans leur contexte. Ils s’accompagnaient d’histoires, de personnages et parfois de photographies. Les visages avaient des noms, des places, des destins. Petit à petit, le livre a pris forme. Puis la famille, les voisins, les amis ont voulu un exemplaire. Certains y retrouvaient une grand-mère disparue, une époque et une histoire communes… …Alors, finalement, nous avons décidé de partager ce portrait en le publiant plus largement…
…Pourquoi « La fenêtre aux oiseaux » ? Mes grands-parents dénoisillaient des sacs entiers pour mon père qui transformait les cerneaux en gâteaux, pralines, huile de noix pour les marchés de producteurs l’été. Les cerneaux les plus abîmés allaient aux oiseaux. Mamie les concassait avec son moulin à café électrique. Nous avons toujours connu cette fenêtre avec des oiseaux qui venaient y manger l’hiver… —…Parallèlement, durant plusieurs années, j’ai été assistante d’un artiste à Paris. Un jour j’ai appris son décès par téléphone. Pour que la communication passe mieux, j’avais ouvert la fenêtre (fin novembre) et je me penchais un peu pour mieux entendre. Mamie était à côté de moi et écoutait. J’avais conscience à ce moment précis que je me situais à cette fenêtre, près d’elle, et que Guy s’en allait… C’est ça la fenêtre aux oiseaux… Une fenêtre nourricière, généreuse, mais c’est aussi l’hommage à ceux qui passent, ceux qui partent et qui s’envolent… »
La troupe de « l’Echappée Belle » a conquis l’attention d’un public de 70 personnes. Une judicieuse mise en scène raconte l’histoire de la vie de cette Mamie dans un cadre bien particulier qu’est une ferme lotoise au début du XXe siècle.
Y sont relatés ses premiers souvenirs d’enfance au sein de cette famille paysane avec ses joies et ses peines, le travail à la maison et à la ferme au rytme des saisons avec les tâches incombant aux enfants, l’école, les moments de jeux et de camaraderie…
Bons nombres de détails révèlent un contraste important avec la vie d’aujourd’hui et font prendre conscience de l’énorme avancée socio-économique et culturelle dont nous bénéficions.
2. Le 13 Mai - Atelier Pastis.
Une opportunité de découvrir les secrets de ce gâteau de tradition locale, une recette qui s’est perpétuée dans les familles depuis de nombreuses générations : un véritable patrimoine immatériel.
Confection de la pâte, pétrissage, étirage, séchage, dressage et cuisson sont les étapes prévues par notre démonstratrice bénévole.
Une dégustation marquera la fin de cet atelier.
Le jour J, l’atelier Pastis organisé par notre association a obtenu un franc succès :
Une cinquantaine de personnes, hommes et femmes confondus, a assisté à la fabrication du pastis, de la confection de la pâte jusqu’à la cuisson, par une démonstratrice bénévole mais néanmoins chevronnée dans cette réalisation gourmande : Martine NADAL.
Les réservations préalables ont permis d’organiser le nombre adéquat d’ateliers. Une dizaine de postes pourvus des ingrédients nécessaires a ainsi été mis en place pour que les apprentis patissiers puissent oeuvrer à leur tour et se rendre compte de l’effort à fournir pendant ce labeur de longue durée afin que la pâte devienne homogène et souple.
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La pâte de notre animatrice n’étant pas suffisamment reposée, elle en tira une autre de son sac, préparée le matin même et maintenue au chaud jusqu’à la démonstration de la phase suivante, spectaculaire et tant attendue dans la confection du pastis : l’étirage de la pâte.
Avec une pâte prévue pour cette étape précise qu’est l’étirage et non destinée à la consommation, chacun put mettre en pratique la leçon et s’imprégner des gestes à effectuer. Ce fut lors d’un face à face constructif autour d’une longue table développant une solidarité spontanée que toutes les mains volontaires purent tester l’élasticité de cette pâte magique. Elle couvrit rapidement la surface de la table telle une toile fine, transparente et (presque) sans jours (ou plus communément : trous) !
Martine rassembla à nouveau ses élèves devant sa propre pâte de démonstration étirée et désormais sèche pour poursuivre les explications des étapes suivantes : nappage, pliage et dressage.
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Il n’y avait plus qu’à mettre ce pastis au four jusqu’à ce qu’il obtienne une jolie couleur dorée, moment choisi pour l’arroser d’un mélange à base de rhum qui a parfumé la salle et stimulé les papilles les quelques minutes de cuisson restant.
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La dégustation tant attendue fut proposéé pendant la cuisson du pastis de démonstration. Martine avait confectionné dans cette intention, le matin même, un nombre conséquent de pastis individuels.
Des pastis à la pomme, effectués par une autre bénévole, furent également offerts à la dégustation des apprentis : il faut savoir que les méthodes de fabrication peuvent légèrement différer selon les familles et selon les localités du Sud Ouest de la France et ce gâteau peut prendre alors le nom de pastis, de tourtières, d’anguilles …
C’est avec le sourire aux lèvres et la recette en poche que “nos élèves PASTISSIERS” ont quitté notre atelier d’un jour !
Certains d’entre eux emportaient également la pâte qu’ils avaient confectionnée eux-mêmes : un petit Travail Pratique (TP) à faire à la maison !
3. En Été - Exposition sur la Gastronomie au 12 Grand’Rue.
Au 12 Grand’Rue, exposition sur La Gastronomie Quercynoise d’hier à aujourd’hui.
Une exposition sur les cuisines quercynoises de l’ordinaire à la gastronomie avec la participation de l’Écomusée Départemental de CUZALS.
Une diversité d’informations concernant
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les traditions culinaires,
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l’usage des principaux ingrédients,
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les spécialités de la région,
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et une exposition d’ustensiles des temps pas si lointains où la fée électricité n’était entrée que timidement dans les foyers pour les éclairer d’une modeste ampoule, et où la conservation ne se faisait qu’avec le sel ou le sucre dans de bonnes caves !
Parmi les ustensiles exposés, quelques-uns ont été soumis à la réflexion des visiteurs quant à leur usage (ancien).
L’imagination s’est avérée foisonnante, exhubérente, drôle …, voire GÉNIALE !!!
L’association vous fait partager la profusion d’idées proposées et vous livre à présent les bonnes réponses :
Objet n° 1 :
Suggestions émises :
- Filtre à café ou autre liquide -
- Entonnoir - Entonnoir/distributeur à grains - entonnoir à sel - Entonnoir à confiture - Entonnoir pour le boudin -
- Entonnoir à pâte - Entonnoir à faire chauffer l’huile - -Poche à douille -
- Humidificateur pour le sol - objet pour mouiller le sol -
- Ustensile pour le fabrique du fromage -
- Instrument pour fumer la saucisse -
- Séparateur de lait et de crème -
- Égouttoir à huile
- Plantoir à graines -
- Filtre pour jus de raisin -
- Sablier -
- Constituant du soutien-gorge de Madonna - (Hey, visuellement, Y’a de ça !…. et au toucher ??? )
- Ustensile pour répandre de la graisse sur les volailles (ou autres) avant et pendant la cuisson -
- Ancêtre de l’antonnoir -
- Instrument de mesure -
- Un chapeau de foire - Et pourquoi pas ? les joies de la fête mêlées à l’ivresse peuvent s’avérer inventives !
- Distillateur à eau -
- Lave-mains -
LA BONNE RÉPONSE :
Il s’agit d’un “humidificateur pour plancher” :
Autrefois, il était difficile de balayer un plancher sans faire voler la poussière. Celle-ci retombait évidemment aussitôt l’outil rangé.
La ménagère remplissait cet appareil d’eau. L’eau en sortait sous forme de petites gouttelettes que la ménagère laissait tomber un peu partout sur son plancher en formant des huit. Ainsi, au passage du balai, la poussière se compactait rendant cette tâche domestique plus efficace.
Les ménagères qui ne possédaient pas cet appareil, connaissaient tout de même ce procédé et projetaient l’eau manuellement, bassine d’eau en main.
Objet n° 2 :
Suggestions émises :
- Pinces pour manipuler les éléments chauds -
- Accroche poulets/torchons -
- support pour sécher le saucisson / la charcuterie -
- Instrument pour enlever la peau des noix -
- Crochets de boucherie -
- Crochets pour le puits -
- Crochets pour suspendre des ustensiles en fer -
- Crochets pour accrocher le cochon -
- Séchoirs à viande - pour l’étendre -
- Crochets pour sortir la viande dans la cheminée -
- Sèche-sabots -
- Séchoir pour faisander -
LA BONNE RÉPONSE :
Il s’agit d’un “attrape-seaux” ou “récupérateur d’objets” :
Par inadvertance, quand le seau tombait dans le puits sans avoir été préalablement attaché (le seau ou autre chose, comme un vêtement, un jouet, …), cet objet était alors aussitôt accroché à la chaîne du puits et envoyé dans les profondeurs obscures, étroites, humides et … froides.
La présence de ses multiples crochets augmentait les chances de récupérer l’objet tombé !
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Objet n° 3 :
Suggestions émises :
- Chevalet pour suspendre les salaisons/ le jambon -
- Etouffoir -
- Ciseaux -
- Pinces pour épis de blés -
- Ustensile pour moudre -
- Cisailles pour créneler la pâte -
- Ciseaux à persil -
- Ancêtre des maniques : instrument pour attraper les choses chaudes -
- Ancêtre du fouet -
- Ancêtre de la cuillère à miel -
- Pince pour sortir le pain du four -
- Pince pour marquer les mottes de beurre -
- Pince pour sortir le linge pendant les lessives autrefois
- Pinces pour battre le linge -
- Éclate-boutons -
- Pince pour attendrir la viande -
- Pince pour étirer la pâte à pastis -
LA BONNE RÉPONSE :
Il s’agit d’un épluche-châtaignes :
La région est productrice de châtaignes. Les ramasser est compliqué, les décortiquer l’est davantage !
Pour éplucher des châtaignes, il existe un procédé bien connu depuis longtemps: il faut les plonger 5 minutes dans de l’eau bouillante après les avoir inciser. Le seul bémol, c’est que seule l’écorce part, la 2ème peau accolée à la chataigne reste !
Il faut donc renouveler l’opération pour retirer cette 2ème peau.
Jadis quand la marmite était grande, elle contenait beaucoup de châtaignes ! Les mains qui s’attelaient à cette corvée avaient déjà souffert à la récolte en se piquant avec les bogues, puis avec le dépeçage de l’écorce assez coriace !
Les mâchoires de cet instrument se chargeaient d’enlever cette 2ème peau. Actionnées maintes fois dans la marmite, avec ou sans eau, elles pinçaient les fruits encore durs et les dénudaient.
Objet n°4 :
Suggestions émises :
- Crochet pour marmite à soupe - pour suspendre la casserole à la crémaillère -
- Crochet à jambon/saucissons -
- Crochet pour seaux -
- Porte-torchons -
- Esse pour sac de farine ou de blé -
- Pendoir à saucisses -
- Crochet pour casseroles -
- Appât pour poissons -
LA BONNE RÉPONSE :
Il s’agit d'une servante:
La marmite suspendue au-dessus de la cheminée en fonctionnement était à température élevée au moment de servir la soupe. Ce crochet, entreposé à l’écart, permettait de décrocher la marmite et de la déposer à proximité sans se brûler !
C’est lui l'ancêtre de la manique !
La révolution en cuisine !
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C’est dans la deuxième moitié du XIXe siècle que l’électricité se généralise dans les foyers avec l’invention de l’ampoule électrique par Joseph Swan en 1878, revisitée et brevetée par Thomas Edison en 1879.
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En 1920, la plupart des foyers des grandes villes avait l’électricité.
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Les années 1930 voient l’arrivée des premiers réfrigérateurs, machines à laver, puis cuisinières, stars des appareils électroménagers domestiques, c’est à dire à la fin de la première guerre mondiale.
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Dans les années 1960-70 les cuisines s’organisent et les plans de travail font leur apparition. Sous ceux-ci sont encastrés les premiers appareils électroménagers comme le lave-linge.
A la campagne, cette intrusion s’est effectuée beaucoup plus tardivement !
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Les années 1980-90 sont marquées par les progrès techniques de l’électroménager, notamment dans la maîtrise des odeurs et des buées. Les nouvelles technologies et innovations électriques passent entre les mains de designers : aspects fonctionnels et esthétiques s’allient. En se déclinant dans différentes formes, couleurs, volumes et matériaux, l’appareil électroménager devient objet de désir. Longtemps cachés au fond des placards, ils s’exhibent désormais dans les cuisines.
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Les années 2010 signent l’apparition de l’électroménager dans le domaine des objets connectés.
L’inauguration de cette exposition a eu lieu le 20 juillet 2023 dans une atmosphère fort sympathique !
4. En Été - Exposition sur la Gastronomie à la Médiathèque.
En collaboration avec le CLAP (Centre de loisirs et d’animations de PUY L’ÉVÊQUE) et l’IME de Vire (Institut Médico- éducatif), le thème de la gastronmie a été traité par des jeunes dans des ateliers qui auront lieu à la médiathèque de Puy l’Evêque.
Une sélection de livres de recettes destinés aux enfants est exposée à la médiathèque parmi des corbeilles de fruits et de légumes créés par les enfants : une mise en scène colorée et attrayante. Bravo les artistes !
5. Clôture le 2 Septembre de ces 2 expositions.
Clôture de l’exposition à l’espace Patrimoine et clôture de l’exposition à la médiathèque marquées par une animation et un pot de l’amitié à la médiathèque.
Et le 2 septembre 2023 …
Et bien, tous les spectateurs présents ont assisté en premier lieu à un majestueux spectacle envoyé du ciel, un “SON ET LUMIÈRE” offert par la météo et son chef d’orchestre … à 18 h précises.
Le mur du cimetière de l'église St SAUVEUR et son auvent, côté médiathèque ont été bienveillants et ont protégé l’assistance de la pluie durant le 2ème spectacle, programmé lui !
Comtes et musiques nous ont tranportés un peu partout dans le monde. Nous avons traversé des contrées imaginaires où une pierre avait une barbe, où un ogre paraissait insatiable, où des asticots élisaient domicile dans de délicieux abricots, où une Mamie conservait un petit ingrédient magique dans un pot de terre en haut de sa cheminée !
Et toutes ces histoires merveilleuses ou cruelles, fantastiques ou un tantinet réelles, se concluaient par une petite morale sympathique qui nous ramenait à la réalité avec … le sourire aux lèvres !
Merci à la comteuse, à son collègue musicien et à Odete de la médiathèque pour ce bon moment sur le thème de la gastronomie !
Le pot final fut lui aussi aprécié, apréciable et … en accord parfait avec la gastronomie (sans les asticots !)
6. Puis finalement, le 2 décembre, un repas gastronomique proposé à nos adhérents.
Le 2 décembre 20023, notre association PUY L’ÉVÊQUE - Patrimoine décida de proposer exclusivement à ses adhérents, un repas réalisé par un chef cuisinier dans un décor adéquat. L’idée de nos deux organisateurs : Gilbert et Gabrielle, était de faire voyager “les intéressés” dans le passé jusqu’à nos jours, le temps d’un déjeuner en émoustillant leurs papilles!
Le CLOS TRIGUEDINA (toponyme signifiant : “vivement le dîner!”, une expression pronocée par les travailleurs en pleine labeur dans les champs !" ), fut rapidement retenu avec la complicité du chef Thomas du VINOIS à CAILLAC.
Le chef Thomas a concocté, en commun accord avec nos deux instigateurs, un menu à base de produits du terroir très employés autrefois en cuisine : une invitation à la découverte et à la dégustation, pour un prix convenu de 50 € par personne! Un supplémént de 15 € permettait la dégustation d’un vin de la “Maison BALDES” en harmonie avec chacun des plats.
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Le Menu
Une trentaine de cotisants, alléchés par l’offre a répondu favorablement.
Lors de l’apéritif, après la présentation du domaine par la propriétaire des lieux, Monsieur ASTE remit à Madame BALDES une lettre très ancienne (1957) qu’il avait dénichée lui-même dans une brocante. Cette missive réclamait singulièrement une eventuelle correspondance téléphonique entre personnes n’étant pas encore équipées de cette inovation ! Cette lettre enrichit aussitôt le “musée” du domaine.
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Le mot de la présidente : Marie Claude GAGÉ :
Notre Association a réuni nos adhérents le samedi 2 décembre au domaine viticole du CLOS TRIGUEDINA. Mme Sabine BALDES, la propriétaire des lieux, nous a accueilli chaleureusement et au cours de l’apéritif offert par l’Association, nous a retracé l’histoire de la famille BALDES et de son vignoble TRIGUEDINA avec le parcours de ses crus depuis six générations … jusqu’au dernier le Probus vieilli pendant un an dans le gouffre de Padirac.
Nous avons ensuite partagé un repas gastronomique préparé de main de maître par Thomas chef cuisinier du restaurant le Vinois à Caillac. Nous étions une trentaine à nous régaler les papilles autour de ce voyage du goût, le tout agrémenté des crus de qualité proposés par la maison Baldes. Nous avons conclu ainsi l’année 2023 consacrée à la cuisine quercynoise par notre Association “Patrimoine de Puy-l’Évêque” dans une ambiance bon enfant. Nous vous réservons d autres surprises pour 2024 autour d un thème que vous découvrirez dès le mois de janvier prochain.
